Lithographie de PAT ANDREA
Lithographie,
encadrée, numérotée 132/150, signée.
Prix fixe : 90 euros
Prix fixe : 90 euros
De
1960 à 1965, il étudie à l'Académie royale des beaux-arts de La Haye.
En 1977, Jean Clair l'invite pour l'exposition « La
nouvelle subjectivité » au Festival d'automne à Paris avec, notamment, Jim Dine, David Hockney,
Kitaj, Raymond Mason, Olivier O. Olivier.
Il
voyage en Amérique latine et séjourne à Buenos Aires,
où il demeure plusieurs années.
Se
situant lui-même « entre Bacon et Balthus »,
ami de Pierre
Dessons, il a développé une peinture figurative créant un univers
ambigu e
Il
exerce son activité artistique à La Haye, Paris et Buenos Aires. Il expose dans
de grandes villes du monde entier telles que Amsterdam, Milan, Madrid, Los
Angeles ... Il est présent lors des événements notables du monde de l'art
contemporain (FIAC, par exemple) et au sein de grandes institutions (Centre
Pompidou). En 1983, Pierre Sterckx l'invite à présenter son travail à la
conférence Jeunesse et Arts Plastiques, à Bruxelles. Il met en place un atelier
de dessin et de collage à l'Ecole de Recherche Graphique à Bruxelles. En 1984,
il réitère son expérience en montant un atelier à l'Ecole Nationale des
Beaux-Arts de Paris. Au cours des années 1990, il est nommé professeur à
l'Ecole Nationale des Beaux-Arts de Paris. Les années 1990 à 2000 sont marquées
par un très grand nombre d'expositions partout dans le monde et au sein des
institutions les plus diverses. En 2002, il est élu "correspondant" à
l'Académie des Beaux-Arts de l'Institut de France.
Dans
l'œuvre de Pat Andrea de grands personnages érotiques et inquiétants, souvent
féminins, sortent tout droit de l’inconscient du peintre sur la toile. On y
retrouve ses thèmes préférés : le sexe, la violence et la mort. En regardant
les peintures de Pat Andrea , on assiste au huis-clos inquiétant entre des femmes et des
hommes nus, des figures chancelantes et angoissées. La scène, ou plutôt la mise
en scène, se passe habituellement dans une pièce aux traits géométriques, une
chambre, un escalier... Ici pas de paysages : pour l'artiste "les paysages
défont les relations humaines, je préfère les huis clos". La figure du
chien est également omniprésente dans l'œuvre de Pat Andrea .
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